De mon côté, j’ai été bluffé par Monster Hunter Wilds, qui réussit à pousser encore plus loin ce que la série proposait déjà de mieux. Dès les premières heures de jeu, on sent une véritable évolution dans la fluidité des combats et l’immersion dans des environnements vivants, dynamiques et impressionnants visuellement. Les créatures sont plus expressives et imprévisibles que jamais, donnant vraiment l’impression de traquer des êtres sauvages et puissants dans leur habitat naturel. La direction artistique est splendide : chaque zone fourmille de détails et change en fonction des conditions climatiques ou de l’heure, ce qui apporte une vraie profondeur à l’exploration. Le système de progression est à la fois exigeant et gratifiant, et j’ai adoré la façon dont chaque chasse devient une aventure en soi. On sent que Capcom a écouté la communauté en rendant l’expérience plus accessible sans sacrifier la richesse ni la difficulté. C’est clairement un jeu pensé pour durer, et qui donne envie d’y revenir encore et encore. Pour moi, c’est une réussite totale et l’un des meilleurs épisodes de la saga.

I watched Mickey 17 with a certain curiosity, mainly because the concept of “replaceable” clones sounded really promising. The movie does have some great ideas and occasionally raises interesting questions about identity, the value of life, and the meaning of sacrifice. Visually, a few sequences are striking, and the world has a unique aesthetic that’s definitely worth seeing. However, overall I was left with mixed feelings. The pacing is rather uneven, alternating between intense moments and slower parts that break immersion. The characters, while sometimes endearing, often lack depth, and their relationships aren’t fully explored. There’s also a sense that the story brushes against fascinating themes without ever really committing to them. Leaving the theater, I felt the film had potential and even some brilliant moments, but in the end it’s a bit frustrating, as if it didn’t fully embrace its own ambitions.